L’École du Discernement apporte, pour la première fois, une méthode originale et éprouvée d’aide à la prise de décision,
pour former des leaders à l’épreuve du gros temps.
À contre-courant du management actuel par consensus, alors que les crises se démultiplient, un besoin de chefs et de décideurs s’impose comme la toute première nécessité des gouvernances publiques et privées.
Partant du rapport variable des personnalités à la prise de décision, elle ne se concentre pas tant sur l’information à apporter aux décideurs que sur la structuration de leurs dispositions intérieures afin qu’ils soient en capacité de donner à cette information la portée et la décision qu’elle mérite.
Elle procède en trois étapes :
se connaitre, s’entourer, durer dans la difficulté.
Elle alterne, afin d’enraciner la mémoire et produire du comportement « réflexe », des mises en situation, des partages d’expériences, des schémas et formules, des anecdotes et des exemples historiques.
L’École du Discernement apporte, pour la première fois, une méthode originale et éprouvée d’aide à la prise de décision,
pour former des leaders à l’épreuve du gros temps.
À contre-courant du management actuel par consensus, alors que les crises se démultiplient, un besoin de chefs et de décideurs s’impose comme la toute première nécessité des gouvernances publiques et privées.
Partant du rapport variable des personnalités à la prise de décision, elle ne se concentre pas tant sur l’information à apporter aux décideurs que sur la structuration de leurs dispositions intérieures afin qu’ils soient en capacité de donner à cette information la portée et la décision qu’elle mérite.
Elle procède en trois étapes :
se connaitre, s’entourer, durer dans la difficulté.
Elle alterne, afin d’enraciner la mémoire et produire du comportement « réflexe », des mises en situation, des partages d’expériences, des schémas et formules, des anecdotes et des exemples historiques.
La mission est l’autorité première. Par son caractère transcendant elle nous dépasse. Il est donc impératif de se poser cette question essentielle :
« Quelle est la mission ? »
Compte tenu du contexte présent, mener à bien sa tâche dans un univers de messages contradictoires et flous, exige plus encore de parfaitement définir la mission.
L’exécution de la mission nécessite l’actualisation, contexte après contexte, de ce qui est prioritaire pour permettre l’avancée collective.
La mission est l’autorité première. Par son caractère transcendant elle nous dépasse. Il est donc impératif de se poser cette question essentielle :
« Quelle est la mission ? »
Compte tenu du contexte présent, mener à bien sa tâche dans un univers de messages contradictoires et flous, exige plus encore de parfaitement définir la mission.
L’exécution de la mission nécessite l’actualisation, contexte après contexte, de ce qui est prioritaire pour permettre l’avancée collective.
Le discernement est l’art de donner aux choses la portée qu’elles méritent.
Il ne procède pas d’une logique de savoir ou d’un raisonnement mais d’une écoute qualifiée, qui, à force de s’imprégner de la réalité d’un contexte, se laisse gagner par l’évidence de ce qu’il y a à faire.
Cet équilibre délicat entre un contexte et des moyens toujours changeants produit la décision attendue à l’instant T et colle à la réalité.
Le discernement est, en quelque sorte, l’antichambre et le filtre juste d’une bonne prise de décision.
Le discernement est l’art de donner aux choses la portée qu’elles méritent.
Il ne procède pas d’une logique de savoir ou d’un raisonnement mais d’une écoute qualifiée, qui, à force de s’imprégner de la réalité d’un contexte, se laisse gagner par l’évidence de ce qu’il y a à faire.
Cet équilibre délicat entre un contexte et des moyens toujours changeants produit la décision attendue à l’instant T et colle à la réalité.
Le discernement est, en quelque sorte, l’antichambre et le filtre juste d’une bonne prise de décision.
La décision fait entrer dans l’action.
Elle marche au pas lent du présent.
Elle permet la bascule et le tri des possibilités illimitées de la pensée vers les étapes successives et réduites de l’action.
Elle est celle qui fait passer, en quelque sorte, la vie opérationnelle de la « carte » au « voyage ».
La décision fait entrer dans l’action.
Elle marche au pas lent du présent.
Elle permet la bascule et le tri des possibilités illimitées de la pensée vers les étapes successives et réduites de l’action.
Elle est celle qui fait passer, en quelque sorte, la vie opérationnelle de la « carte » au « voyage ».